mathieu bec

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Chronique "Révélation" sur Jazz Mag ( N° 750 collector )

Chronique sur Jazz Mag de Février 2024 


Liens revue de presse sur le darktree records

https://www.darktree-records.com/accueil-press/darktree-dt18-press

A la une de Openjazz (France Musique)

https://www.radiofrance.fr/francemusique/podcasts/open-jazz/marius-welker-et-mathieu-bec-un-duo-venu-d-une-autre-planete-9621480

FURIE ROUGE :QUENTIN ROLLET/MATHIEU BEC

" Pluie pourpre ruisselant sur les peaux, ricochant sur les cymbales, flux discontinu telle une langue de boue ocre rouge se déversant de la corne, furie d’un torrent de sang s’engouffrant sous la pression dans des cavités sonores, laissant jaillir dans l’air les mille reflets cuivrés d’un alto tendu, porté par les pulsations organiques d’une batterie rupestre, duo dévalant sans cordage de rappel des pentes abruptes, les téméraires Rollet/Bec s’immergent dans cette fureur rouge, pulsant, vibrant, soufflant, crachant, percutant, caressant, hurlant, primant l’urgence vitale de la musique, avec toute la fraicheur des premières rencontres."CHRISTIAN POUGET Décembre 2021.



FREE TAO du duo WELKER/BEC

"Comme un vent soufflant venu des steppes de l’Oural, avec un
bourdon évocateur d’un chant ancestral mongol, baguettes effleurant les cymbales insufflant une imperceptible pulsation propulsant le soprano dans des voltiges tournoyantes, échos de folklore sarde, danse de l’alto de braise attisé par le martèlement des peaux fantômes d’Elvin et Milford, voix animale invectivant le saxophone, frénésie d’un rythme dru poussant la clarinette basse vers des contrées slaves où le chant fou tourbillonne, le duo Welker / Bec ne cesse de chanter avec ferveur, faisant surgir des danseurs invisibles enivrés par des sons venus de mille voyages imaginaires." CHRISTIAN POUGET Février 2022.

STANDARDS COMBUSTION (Daunik Lazro / Benjamin Duboc / Mathieu Bec)

  "C’est bien le troisième album de Daunik Lazro avec le contrebassiste Benjamin Duboc pour le label Dark Tree. Les deux premiers étaient concentrés sur l’improvisation libre sonore interactive. Ici au sax ténor et avec Mathieu Bec à la batterie ! Et comme le titre Standards Combustion le laisserait supposer, il ne s’agit pas de Standards « jazz » habituels, mais des reprises originales et assez fidèles à l’esprit de morceaux intemporels d’Albert Ayler (Ghosts et Mothers), de Steve Lacy (Deadline), de Wayne Shorter (Nefertiti) et de John Coltrane (Vigil et Love Supreme). Ces morceaux sont parsemés d’une composition de Daunik Lazro , Line up for Lacy et deux pièces signées Bec Duboc Lazro : R.Métégal et Tight Rope.Ma réaction à propos des hommages à X, Y, Z que ce soit John Cage, Bill Evans, Monk ou Miles Davis etc… : l’artiste a-t-il quelque chose à exprimer lui – même, sa musique ? Ou est-ce un argument de vente, une facilité ou une œuvre de commande ? Il y a tellement de musiciennes et musiciens fantastiques et originaux à écouter et découvrir que bon …. Dans le cas précis de Daunik Lazro, un pionnier incontournable du free en France et un artificier du sax alto et cracheur de feu peu commun et passé au sax baryton, il y a quelques motifs très justifiables parce que cette musique, Ayler, Lacy et Coltrane ont balisé et catalysé sa passion de toute une vie d’artiste se battant contre vents et marées, au cœur de la tempête de la free-music. Et ses deux acolytes sont des allumés notoires.Ghosts est joué fidèle à la mélodie du thème, très chaleureusement avec ces harmoniques déchirantes proches de celles d’Albert Ayler, comme d’ailleurs peu le feraient. Mathieu Bec approché au sujet de ce nouvel album, m'a déclaré s’être mis à jouer sur le champ, sans avoir pu faire la moindre recherche sur le morceau d’Ayler, dont les premières versions figurent sur les albums Spiritual Unity (ESP 1002 – juillet 1964) et Prophecy (ESP 3030 enregistré un mois plus tôt au Cellar Café). Il aurait été intéressant de tenir compte mentalement de la partie de batterie toutes en vagues sonores jouée par Sunny Murray et du rôle de la contrebasse de Gary Peacock et ses doigtés en zig zag si particuliers. Mais curieusement, si Mathieu joue spontanément free dans ce morceau (un peu comme Rashied Ali mais avec un moins fort volume), le batteur a utilisé certaines frappes semblables à celles de Sunny ! Leur Ghosts met ici les pendules à l’heure et l’auditeur directement sur orbite. En fait, l’intérêt est de jouer sincèrement cette musique comme elle doit l’être tout en l’adaptant spontanément à l’état d’esprit actuel, la situation émotionnelle et le parcours de vie du musicien, son expérience, son vécu. La sincérité, la reconnaissance et l’amour pour ces aînés qui nous ont tout donné sans jamais rien calculer, sauf pour ajuster leurs possibilité sonores et musicales, la technique intimement personnelle de leur instrument à leur message esthétique et leur rage de vivre.Et cette session bien révélatrice à ce sujet. Il suffit d’entendre comment est rendu Nefertiti en mode free tout en énonçant le thème avec des accents et des suspensions proches de ceux du maître, suivi par une charmante envolée. Leur version de Deadline (compositions joué par Steve Lacy en solo cfr le Live publié par SAJ de 1975) décline bien des éléments et l’esprit de la musique de Lacy. Vigil : Mathieu démontre qu’il a un vif souvenir d’Elvin Jones jouant ce morceau au travers de détails dans ses frappes et roulements sur la caisse claire et le tom. De même, le chant de Lazro laisse s’échapper des volutes et imbrications de notes de ce morceau enregistré en duo par Coltrane et Elvin sur l’album Kulu Se Mama, que Daunik a écouté cent fois … La version de Love (Supreme) est jouée ici en rythmes libres et avec une sonorité et une intonation voisine (et imaginaire) de celles qu’adopterait un Jimmy Giuffre (« joue free »). Il s’agit de « relectures » vivantes, chargées d’émotion et sans esbrouffe : elles distillent des éléments essentiels de la musique de nos héros les plus chers, dans une autre réalité avec un autre vécu. Et dans les traces de ces morceaux de légende qui suintent de leurs réinterprétations émues, on découvre la moëlle, des intonations, des injonctions secrètes issues précisément d’ écoutes amoureuses, répétées, intensives et de très nombreuses tentatives passées d’avoir joué ces thèmes et improvisé en cherchant indéfiniment leur sens profond, la matière même de l’amour. Aussi une belle volonté de construction collective dans R.Métégal et le très court Tight Rope. Bref, un beau projet pour souligner les marques profondes que ces artistes disparus ont laissé dans notre âme et notre esprit." 

par Jean-Michel Van Schouwburg 

"MATHIEU BEC, batteur et poète, est un électron libre qui joue aussi bien dans le domaine free-jazz et hard bop que dans le circuit de la musique expérimentale. Aprés des études musicales basiques, il a opté pour le style développé par deux grands batteurs américains ( Milford Graves, Ed Blackwell) et multiplie  les expériences avec différents musiciens comme Xavier Charles, Boris Blanchet, Daunik Lazro ou Beppe Caruso. Il a enregistré une quinzaine de disques et il s'est produit dans le monde entier dans différents festivals de free-music. Il posséde un groove très étoffé tout en ruptures rythmiques  dans lequel il excelle en concert."

par JL Martin

MATHIEU BEC/GUY-FRANK PELLERIN
SAXA PETRA /LABEL SETOLA DI MAIALE, SM3680, 2018

"Tout d'abord, et à ma courte honte, je dois avouer que je ne connaissais pas Mathieu Bec avant de recevoir ces trois albums. J'avais bien dû entendre parler d'un musicien vivant dans le Sud-Est de la France et qui avait su capter l'attention de Michel Doneda et Xavier
Charles au point que chacun lui propose un enregistrement en duo ou trio, mais je n'avais pas poussé plus loin mes investigations. C'est donc en toute innocence et sans l'ombre d'un préjugé que je me suis installé pour écouter ce "Saxa Petra" gravé pour Setola Di Maiale en compagnie du saxophoniste Guy-Frank Pellerin. Et c'est bien le jeu, ou plus exactement leson du percussionniste qui m'a fait dresser l'oreille au bout de vingt secondes à peine...
Ce crépitement soudain jailli de nulle part et tombant précisément là où on ne l'attendait pas, trop lointain pour fixer le rythme, mais assez proche pour l'ébranler de son urgence,ne pouvait obéir qu'à l'instinct immédiat d'un homme présent à l'instant, imperméable àtoute autre suggestion que celles de son partenaire. Cette multitude d'informations, réduite en une seule impulsion à un point donné sur l'abscisse du temps, inscrivait d'emblée son auteur au nombre des artistes réflexes maîtrisant assez leur instrument pour exprimer en
temps réel l'idée surgie au seuil de leur conscience. Nous avions bien affaire à un improvisateur, et non des moindres ! Son partenaire, Guy-Frank Pellerin, dont j'ignorais également tout, n'est pas non plus tombé de la dernière pluie. Il faut d'ailleurs attendre un
moment, que le cuivre résonne de tout son timbre, pour distinguer les deux musiciens,comprendre que ce frottement était en fait un souffle et ce grondement une percussion.
Pour autant, les deux hommes ne s'inscrivent dans aucun courant minimaliste. Et si le tempo s'avère le grand absent de leurs échanges, le son lui-même est omniprésent et participe d'une forme paradoxale d'expressionnisme abstrait, marqué de cris métalliques et de frappes sourdes dont l'énergie pourrait s'apparenter à une violence retenue si le propos n'était ouvertement pacifique et fondé sur le partage de sensations uniques.
Musique sensitive, donc, où la technique est mise au service de l'écoute et des réactions de chacun à l'expression de l'autre, cette polyphonie bruitiste aux cymbales raclant la peau de la caisse-claire quand la voix se dédouble au fond du saxophone, aux friselis de baguettes évoquant sur les cercles un froissement de tôle, aux silences furtifs, virgules tremplins vers une soudaine explosion de matières inflammables, illustre la fugacité de pensées autonomes et simultanées qui agissent leurs gestes et leurs conséquences. Curieux des
moindres vibrations traversant déjà les strates de l'atmosphère, les musiciens concentrent toute leur attention sur ces entités placées dans l'air, à portée de souffle, et qu'ils se doivent de saisir en une fraction de seconde pour mieux en nourrir un discours immédiatement perceptible. Ici, les hommes sont les auteurs d'une traduction instantanée, depuis les possibles d'un espace-temps déterminé jusqu'à l'ultime résonance au cœur de l'auditeur, et c'est de leur constante interaction que naît le langage même. Des frictions arrachées aux limbes du silence, des cliquetis boisés, des murmures venteux, le roulement d'un tambour épousant l'éclosion d'une note solitaire tranchée en son milieu par la
sécheresse d'une claque, le fracas minutieux des aiguilles sur le pourtour des caisses, des aigus chiffonnés, sculptés à même le cuivre jusqu'à n'en dessiner que le mince filet d'unsifflement ténu, le slap urgent du sax auquel répond le choc, au centre de la peau, d'une
baguette obstinée réitérant sa frappe et imposant, dès lors, la surdité d'un glas aux réminiscences tragiques. La concrétion des pierres, dont Mathieu Bec s'est fait une spécialité, qui tintent parfois au sommet de la tessiture avant de descendre un à un les degrés successifs de roches tempérées. L'étonnante clarté de ce lithophone s'assombrissant aussi à mesure que le percussionniste s'enfonce dans le mystère et l'obscurité des graves,le calcaire supposé, qui explose soudain en un nuage de poussière annonçant la dangereuse blancheur des carrières. La limpidité du souffle après la raucité du cri, espace transparent, aussitôt partagé, de paix intérieure.
C'est dans cette alchimie attentive d'une violence constamment détournée que les deux improvisateurs imposent leur style, mâtiné de douceur et de fulgurances, d'évidence complexe et d'une logique personnelle échappant, dans sa singularité, aux catégories dans
lesquelles nous aimerions les enfermer pour mieux les comprendre et les apprivoiser.
Pourtant, c'est dans cette incapacité à les appréhender que réside notre fascination et le plaisir renouvelé d'une écoute répétée pour mieux en saisir la subtilité. Si l'immédiateté d'une musique saisie dans l'instant par son enregistrement nous offre ainsi le bonheur de la
quête et, par là-même, l'illusion de l'intelligence, ces artisans, tailleurs de pierres, de métaux et de vent, n'auront pas failli à leur tâche et peuvent être fiers de leur ouvrage.
Mesdames et Messieurs les programmateurs, c'est de nous que dépend désormais le tour de France de ces compagnons musiciens !"   JOËL PAGIER-Revue et Corrigée

MATHIEU BEC/PIERRE DIAZ/EMMANUELLE STIMBRE/MARC SIFFERT/
GILLES DALBIS
LE CHANT DES TERRES
IMPROVISING BEINGS, IB63, 2017

"Le "Chant des terres" est un album de solos et de duos paru chez Improvising Beings et durant lesquels Mathieu Bec se montre peut-être plus encore au-delà du temps que dans"Saxa Petra". Le rythme y semble à ce point intégré dans le processus qu'il n'est plus besoin de le marquer ni d'y faire la moindre allusion et l'on se surprend à l'oublier sans perdre pour autant le fil de l'improvisation, comme le voyageur, au milieu du désert, suit avec certitude une piste muette. De silence, pourtant, il n'est guère question dans ces échanges foisonnants où le percussionniste en appelle à l'écoute, mais également à l'engagement de ses invités, lesquels ne se privent pas d'intervenir à leur manière, quitte à brouiller les cartes distribuées par leur hôte. A mesure que progresse l'enregistrement, nous croiserons donc la clarinette basse de Pierre Diaz, les contrebasses d'Emmanuelle Stimbre ou Marc Siffert et les percussions de Gilles Dalbis. L'artiste posera son sac, le
temps d'un dialogue à marquer d'une pierre blanche, puis reprendra sa route vers d'autres escales, d'autres sons et d'autres espaces.
De fait, la notion d'espace est essentielle pour Mathieu Bec dont les pierres et les percussions, allégées de leur fonction rythmique, se consacrent exclusivement à leur tâche esthétique et au repérage d'un temps linéaire fondé sur la diversité des durées se succédant jusqu'à l'ultime frappe. Dans cette démarche originale, les percussions
continuent de marquer le temps, mais sur un tracé horizontal affranchi de toute fréquence et de la régularité circulaire du tempo, attentives seulement aux espaces vitaux nécessaires à la respiration autant qu'au mouvement.
D'ailleurs, cela respire et bouge ! Le souffle de Pierre Diaz ouvre la voie dans un murmure de clarinette basse aussitôt bloqué par l'attaque groupée des toms, des cymbales et de la Charleston. Durant un temps, les deux hommes s'observent, le saxophoniste amorçant une
mélodie que les percussions encadrent plus qu'elles ne l'accompagnent et, soudain, le ton se durcit. Le cuivre s'étrangle vers les aigus parmi les gifles répétées d'un partenaire peu enclin à s'en laisser conter. Chacun mène, de haute lutte, un combat légitime car égalitaire,
pour ne pas dire fraternel, et la tension se résout dans le calme relatif de sonorités apaisées jusqu'au silence. Mathieu, dès lors, va se confronter à la solitude comme si, après cet échange, il devait réaffirmer l'identité de son propos. Le cuivre grince sur la peau tendue, que réverbère une prise de son très proche de sa source. La tôle glisse sur la tôle avant de se répandre sur le sol dans un fracas de ferraille. Des lambeaux de rythme subsistent dans le cliquetis heurté des baguettes sur les cadres et le percussionniste brosse un fragment de paysage urbain nourri de cris et de halètements, de grilles métalliques
gémissant dans l'ombre, de portes claquées et de bruissements corporels. La contrebassiste Emmanuelle Stimbre le rejoint alors, le temps d'une plage où il faut tendre l'oreille pour y discerner une contrebasse tant les sonorités des deux improvisateurs se
fondent en une seule substance dont l'organicité, pailletée de métal, palpite comme un cœur vivant. S'ensuivent trois pièces solitaires aux allures de tumulte organisé où s'impose un discours volubile de matières entrechoquées évoquant plus une casse ou l'atelier d'un
carrossier qu'un set de batterie proprement dit, où les frottements, dans leur durée, semblent étirer le temps jusqu'à l'infini, aux confins d'espaces échappant à notre conscience. Emmanuelle Stimbre revient pour une courte pièce où son instrument est, cette fois, bien reconnaissable et durant laquelle elle tresse, avec Mathieu Bec, une toile impénétrable tant la trame en paraît serrée. Puis, après un nouveau solo traversé de réminiscences fantastiques, entre râles animaux et tintamarre mécanique, une autre contrebasse surgit, entre les mains cette fois de Marc Siffert. Les notes à l'archet
s'insinuent dans les silences laissés par Mathieu, puis s'élèvent peu à peu en un tuilage fiévreux suggérant la discussion animée, bien que réfléchie, de deux amis autour d'un verre, quand les cordes, plus expansives sans doute, l'emportent en densité sur les peaux et le métal attentifs, pourtant, au moindre argument de leur interlocuteur... Et c'est enfin la danse des percussions à l'honneur puisque Gilles Dalbis vient adjoindre ses propres frappes à celles du maître de céans lors d'un duo teinté de jazz où les deux batteries évoquent leurs racines communes avant de laisser éclater un tonnerre de roulements tragiques, bien vite apaisé par la délicatesse des cymbales et les quelques notes échappées d'un improbable piano tout étonné lui-même de se trouver là !
Les terres de Mathieu Bec ne sont que musique et leur chant solitaire ne peut le rester bien longtemps puisque ce traceur de sillons entretient les meilleures relations avec ses voisins attachés, comme lui, aux bonnes vibrations humaines ou sonores. C'est même la principale raison pour laquelle cet album résonne d'une telle empathie, au-delà des angoisses émanant parfois de chocs ou d'entrelacs plus serrés que de coutume. De fait, s'il fallait à tout prix définir la musique de cet homme du Sud par un unique mot, ce serait la "chaleur".
Celle qui rime avec "tendresse" et irradie jusqu'au sourire de ses partenaires." JOËL PAGIER-Revue et Corrigée

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Book realeased ! / Parution de mon livre

Parution de mon livre & première séance dédicace @Marc Deveaux Galerie à Montpellier le 15 décembre 2021


https://ubik-art-editions.fr/produit/a-lombre-des-sources/

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